la la la la la lalalalala la la la la la la,

J'ai tenté de résister mais je ne peux m'empêcher de balancer une petite kacedédi au casque d'or, el ninio et ali le magnifique que j'ai eu le plaisir de croiser ce matin au détours d'une petite rencontre en ce jour de repos scaien.

Un petit rappel des evenements : Samedi 10h00, 17 degré, Temps couvert, légère brise, Match tendu - UGGC / FRANKLIN : 2/3

bON, le SCA étant une grande famille, je ne me répendrai pas sur la pression scandaleuse et les menaces d'ordalies moyennageuses proferées à mon encontrela veille du match par nos trois corréligionnaires.

Pas plus que je ne m'étendrai sur les techniques employées par ces trois malfrats au barfly la veille pour tenter de me corrompre.

Ces trois bandits n'ont pas hésité à brandir la menace de ma prochaine exclusion du SCA ( ou va t on ??,je vous le demande, c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres si l'on continue à tolérer de telles pratiques au sein même de nos instances dirigeantes!! y a t il un Bernard Tapie au sein du SCA, serait ce cet individu louche dont le nom à consonnance yougoslave ou polonaise et non tchek,autoproclamé président m'échappe !)

Bref, toujours est il que même si le match de ce matin était un peu tendu et je m'en excuse auprès des trois raclures, la victoire ( enfin ma victoire je voulais dire) était belle

Beau joueur, je ne cederai pas à la tentation facile de fustiger ces trois moribonds et dans un souci de paix et fraternité je leur dédit ces qq vers bien connu de tous

Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre d'un seul coup le gain de cent parties
        Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
        Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
        Sans mentir toi-même d'un seul mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
        Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ;
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
        Penser, sans n'être qu'un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage
        Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
        Quand tous les autres les perdront,
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui est mieux que les Rois et la Gloire,
        Tu seras un homme, mon fils.