Autopsie d'une victoire
Après une mise en route laborieuse, l'équipe s'est bien mise en branle, et quand le sca se met en branle çà fait mal...
Ca donne une demi-heure assez bandante, à l'image de la première 1/2 heure contre GSF.
Cette fois-ci, toutefois, ces préliminaires ne resteront pas sans suite. Pénétration de sonny, pour julien qui, après un bon coup de rein, met la tête (1-0).
L'équipe adverse, pourtant non consentante, ne peut que constater les dégâts. Le sca est bien en place, concentré, bien emmené par un benji très en forme à la braguette, pardon à la baguette.
L'équipe retombe alors dans ses travers (de porcs): baisse d'intensité au niveau physique, attention relâchée, le sca désserre l'étreinte.
Le sca est moins bien, le doute l'habite. Conséquence immédiate: égalisation adverse, en 2 temps, sur coup franc. Sur cette occasion, Constance ne fait pas preuve de son doigté habituel (1-1).
Mi-temps: Nous buvons, nous parlons, il fait froid, de la fumée s'échappe de notre bouche quand nous parlons.
Début de 2ème période: le sca ne baisse pas les bras (ni les jambes, ni rien du tout d'ailleurs), est solidaire, mais joue très bas.
Le sca n'est pas réellement en danger, mais n'a pas non plus de vraies opportunités d'enfoncer le clou, l'adversaire hésitant à se dévoiler. Julien est isolé et privé de soutien.
Le match peut basculer d'un côté comme de l'autre. A la soixante-neuvième minute, l'arbitre siffle un corner. Le ballon arrive à Jakko, bien embusqué au 2ème poteau, qui en salive déjà: jakko caresse la balle, qui n'en demande pas plus. La défense adverse panique et marque contre son camp (2-1).
Le sca abandonne alors toute vélléité offensive et se contente de gérer son avance. Elle y parvient grâce à une grosse solidarité et aux exploits répétés de son gardien félin (NDLR: Constance).
Coup de sifflet final: le sca tient sa 2ème victoire. Résultat mérité.
Ca donne une demi-heure assez bandante, à l'image de la première 1/2 heure contre GSF.
Cette fois-ci, toutefois, ces préliminaires ne resteront pas sans suite. Pénétration de sonny, pour julien qui, après un bon coup de rein, met la tête (1-0).
L'équipe adverse, pourtant non consentante, ne peut que constater les dégâts. Le sca est bien en place, concentré, bien emmené par un benji très en forme à la braguette, pardon à la baguette.
L'équipe retombe alors dans ses travers (de porcs): baisse d'intensité au niveau physique, attention relâchée, le sca désserre l'étreinte.
Le sca est moins bien, le doute l'habite. Conséquence immédiate: égalisation adverse, en 2 temps, sur coup franc. Sur cette occasion, Constance ne fait pas preuve de son doigté habituel (1-1).
Mi-temps: Nous buvons, nous parlons, il fait froid, de la fumée s'échappe de notre bouche quand nous parlons.
Début de 2ème période: le sca ne baisse pas les bras (ni les jambes, ni rien du tout d'ailleurs), est solidaire, mais joue très bas.
Le sca n'est pas réellement en danger, mais n'a pas non plus de vraies opportunités d'enfoncer le clou, l'adversaire hésitant à se dévoiler. Julien est isolé et privé de soutien.
Le match peut basculer d'un côté comme de l'autre. A la soixante-neuvième minute, l'arbitre siffle un corner. Le ballon arrive à Jakko, bien embusqué au 2ème poteau, qui en salive déjà: jakko caresse la balle, qui n'en demande pas plus. La défense adverse panique et marque contre son camp (2-1).
Le sca abandonne alors toute vélléité offensive et se contente de gérer son avance. Elle y parvient grâce à une grosse solidarité et aux exploits répétés de son gardien félin (NDLR: Constance).
Coup de sifflet final: le sca tient sa 2ème victoire. Résultat mérité.
Ecrit par sonny, le Mardi 23 Novembre 2004, 17:28 dans la rubrique La rubrique du coach.
Commentaires :
Re: Re: Quel style !
mais en 1), ca reste la poésie....tié un pouet sonny
je ne peux pas vous quitter sans paraphraser "I AM" dans un interlude sur l'album Ombres et Lumières :
"mon viet, s't'enculé, chtebeu, dégage-a, on s'enbalécouilla!"
Luc me comprendra, en principe (c l'histoire d'un ingénieur du son tout droit débarqué de ses états-unis natal à Marseille)
je ne peux pas vous quitter sans paraphraser "I AM" dans un interlude sur l'album Ombres et Lumières :
"mon viet, s't'enculé, chtebeu, dégage-a, on s'enbalécouilla!"
Luc me comprendra, en principe (c l'histoire d'un ingénieur du son tout droit débarqué de ses états-unis natal à Marseille)
SAO
Quel style !
Si la poésie n'existait pas, Confrère vous l'eûtes (poil à la turlut?) inéluctablement inventée... Votre prose m'a rappelé la sentence d'un grand philosophe, un certain Quasimodo Del Dongo qui disait dans son "Eloge du priapisme" cette phrase éloquente : "Dans la vie il n'y a que deux choses qui m'intéressent; la poésie et bouffer le c...d'une p..."
Nous avons le Barreau, Confrères!
Mwana Sao.